Politique

Les écolos, les cocus de F.Hollande.

François Hollande n’en finit pas de renier sa parole, de faire fi de ses promesses de campagne et de jeter aux orties ses belles résolutions de république exemplaire. Avec un premier ministre, Jean-Marc Ayrault, ancien repris de justice puisqu’il a été amnistié, un ministre des affaires étrangères, Laurent Fabius, qui lui devrait être en taule pour l’affaire du sang contaminé et du Rainbow Warrior, son gouvernement n’est pas digne d’une république exemplaire mais François Hollande se voulait un président normal, ce en quoi il a parfaitement réussi, incompétent, corrompu et sans aucun charisme…
Les écolos qui ne sont pas plus vertueux que leurs associés socialistes, pour preuve les comportements de Cécile Duflot et de son compagnon sénateur (Placé) qui mélangent allègrement la politique et leurs intérêts personnels sont pour l’idéologie les cocus de François Hollande. Durant la campagne, Cécile Duflot avait monnayé son élection à Paris contre une position assouplie sur le nucléaire, mais depuis, François Hollande et Arnaud Montebourg enfonçaient le clou, aidés par Manuel Valls….
Donc, le fameux ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, a déclaré dimanche que le nucléaire était «une filière d’avenir». Aussitôt le ministre de l’Intérieur Manuel Valls a apporté son soutien à Arnaud Montebourg ce lundi, en assurant comme lui que l’énergie nucléaire est «incontestablement» une filière d’avenir. Interrogé par Europe 1 sur la phrase pro-nucléaire lancée la veille par le ministre du Redressement productif, le responsable de l’Intérieur est allé totalement dans son sens : «C’est une filière d’avenir, incontestablement». Il a rappelé cependant les engagements de François Hollande «de réduire la part du nucléaire, à l’horizon 2025», dans le mix énergétique.
Un discours ambigu ou pourrait-on dire politique qui n’engage que ceux qui l’écoute. Droite ou gauche, les français sont refaits depuis cinquante quatre ans, depuis l’instauration de la cinquième république bananière.

William Cardspeare