Politique

Edith Cresson, une femme, une langue de bois

Edith Cresson à l’occasion de son dernier livre sans intérêt, pour lequel nous ne ferons pas de publicité, vient au secours de Ségolène Royal et de ses propos quant aux heures de présence des enseignants. Elle nous explique maladroitement que ces propos sont sortis d’un contexte; la maladresse elle connaît! Sur le sort des femmes en politique, elle dévoile que lorsqu’elle montait à la tribune de l’assemblée, elle entendait des ” A poil”, là pour le coup, ça tient du fantasme; on sait que les députés se laissent aller à la boisson avant les séances, mais tout de même, prendre Edith pour Clémentine, après renseignement pris, le vin n’est que du 12°… L’affaire Clearstream pour Edith n’est pas un scandale, et si elle avait dit le contraire, on aurait prétendu que c’est l’hôpital qui se fout de la charité! Elle même traînant quelques casseroles, et ayant gravité au plus près des affaires Mitterrandiennes, le dossier Clearstream est un vol de bonbons à l’étalage…