Politique

Les Fortunes reviennent!

Dans le parti de Nicolas Sarkozy, on dirait que certains ont compris, (deux ou trois), et encore ils n’ont pas tout compris! Lorsque l’on vexe quelqu’un, il vous garde un chien de sa chienne pour l’éternité, et la ségrégation vis à vis des riches, instaurée par les Socialo-communistes en 1981, n’est pas oubliée.
Donc, ces salopards de riches se sont réfugiés dans des pays plus accueillants, et la question que se posent nos trois originaux, comment les faire revenir?

Et bien, ils ne reviendront, que si l’état Francais leur versent une prime de 20% de leur avoir à l’étranger (source Banco de los refugiados économicos), qu’on les reçoive à l’aéroport comme des Stars, que le Président de la République prononce un discours de repentance, et que les divers partis Rouges soient interdits…

Le chef de l’UMP qui voulait la rupture, en voilà une toute trouvée, mais comme ce sont des petits joueurs, nous n’aurons que des mots à défaut des actes.

Après avoir brisé les espoirs des trois intellectuels financiers de l’UMP, on pourrait leur suggérer de rabattre leurs prétentions, et se contenter de prendre des mesures pour que les nouveaux, les futurs fortunés restent parmi nous…

Aussi voici un train de mesures qui pourrait relancer la croissance et stabiliser en France cette population.

Première mesure, les revenus au-dessus de 500 000 euros ne payent plus d’impôt sur le revenu. Tout propriétaire d’un yacht de plus de 20 m recevra une aide pour l’entretien et la place portuaire. Les possesseurs d’avions auront les carburants détaxés. Les propriétaires de chevaux se verront être les bénéficiaires des primes de la PAC. Les voitures de plus de 200 chevaux bénéficieront du parking et du péage autoroutier gratuit. Seront exonérées les familles ayant un revenu de 300 000 euros et plus. Les propriétés de deux hectares et plus seront exonérées d’impôt foncier ainsi que les appartements de plus de 280 m2… Vous allez me dire, avec ces mesures, les salauds de pauvres vont s’en aller… Et alors, la France on l’aime ou on l’a quitte!

William Cardspeare