Politique

Crise, banque, politique, économie, un jeu de guignols

Depuis des années dans El Dia de la Republica, les lecteurs savaient ce qui était inéductable et qui est arrivé: La crise financière mondiale

Mais les lecteurs d’El Dia savent aussi que non seulement ce n’est pas terminé mais que cela va être pire!

Non, nous ne nous prenons pas pour des génies ou des devins, nous ne faisons qu’analyser les actions des hommes en général, des politiques en particulier, ce qui nous a permis depuis longtemps d’affirmer que les banquiers étaient des crétins, qui est une évidence pour tout le monde aujourd’hui.

Avec un déficit de plus en plus abyssal pour tous les états, un chômage galopant, les planches à billets qui tournent jour et nuit, il n’est nul besoin d’être docteur en économie pour comprendre que cela n’ira pas mieux courant 2010.

Ce qui parait évident pour les lecteurs d’El Dia, ne l’est pas pour le reste du monde qui ne fait que parler de reprise, de fin de crise, et de croire à une hausse d’un pouvoir d’achat qui n’arrête pas de baisser depuis trente ans…

Pour preuve, la déclaration de Jean-Claude Trichet, le premier banquier d’Europe:

“Il est prématuré de proclamer la fin de la crise, après les signes d’amélioration récents des perspectives économiques en zone euro”.

Une chose qui ne parait pas prématurée serait de mettre l’illusionniste Jean Claude Trichet à la retraite.