Politique

Fabius déclare: je suis le seul capable

Dans l’émission de LCI-Le Figaro et RTL, Laurent Fabius déclarait que Sarkozy commençait à lui chauffer les oreilles avec ses déclarations intempestives et ses médiocres résultats, ce à quoi on ne peut qu’adhérer. Pour l’ancien premier ministre, les incidents des banlieues et particulièrement celui de la nuit dernière à Marseille est le fait de quatre ou cinq salopards… Encore de l’angélisme de la part de ce Politique qui travaille plus à son élection qu’à l’analyse des dossiers ! Pour ses concurrents face au vote des militants PS, il met Ségolène Royal, DSK et Tony Blair dans le même sac et balance le tout dans la Tamise… Il prévient les socialistes que pour gagner, il faudra rassembler toute la gauche y compris l’extrême, on nous refait le coup du programme commun de 1981. Il a une situation unanime avec tous les élus, il n’est pas question que la populace puisse remettre en cause les hommes politiques ! Ca a le mérite d’être clair, les électeurs ont un QI uniquement pour aller voter… Sur le dossier SNCF conclu avec la société Bombardier, L’Europe, la France et la société des chemins de fer se sont fait couillonnés par le Canada, une position tranchée et assez bien vue. Là ou il redevient le Politique que l’on connaît, c’est sur les trente cinq heures avec un flou qui n’a rien d’artistique et qu’il veut étendre à toutes les petites entreprises , et pour le coût, le maux. Pour finir, un aménagement de la constitution afin de redonner le pouvoir aux parlements, il aurait pu avoir un peu d’imagination, c’est un copier coller de François Mitterrand, mais lui-même n’en est-il pas un ???contribuable est là… Le candidat nous a résumé son programme, en juillet 2007, les impôts commencent à augmenter, rien d’original. Un budget de la défense en baisse, avec une armée déjà déficiente et les tensions internationales que l’on connaît, une vision de technocrate, ce qu’il est ! Sur Edf, il prétend revenir sur le statut actuel mais on n’en croit rien après ses bafouilleuses explications. Pour financer l’Europe, un nouvel impôt, le remède à tous les