L’Espagne, à droite toute…
L’Espagne de Zapatero a vécu, Monsieur Rajoy lui succède. Austérité, dépenses sociales saignées à blanc, diminution des salaires des fonctionnaires, refonte du droit du travail pour le rendre plus souple et enquête-vérité sur les comptes des banques et caisses régionales…
Et là, cela pourrait être très intéressant, dévoiler enfin à la face du monde pour ceux qui en doutaient encore que les banquiers sont de dangereux abrutis. Pertes énormes, comptes trafiqués, prêts non solvables, de quoi accélérer la faillite du système, processus indispensable pour sortir du bourbier où nous ont mis les politiques, premiers complices des banquiers.
Nicolas Sarkozy doit se frotter les mains de ce résultat espagnol, tendant à prouver que les peuples votent de préférence à droite lors de grandes crises financières, alors que Barack Obama sent venir le vent de la défaite, les Etats unis ayant la plus énorme dette du monde.
Plutôt qu’un gouvernement de gauche ou de droite, une révolution serait mieux fondée.
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PHILIPPE PENCIOLELLI
Philippe Penciolelli, né en 1951, cavalier dès l’âge de neuf ans, a commencé sa carrière professionnelle comme entrepreneur dans les transports Hippiques dans les années 70. Connaissant un certain succès, il a pu s’orienter vers une profession, la construction navale, qui le rapprochait d’une autre passion les bateaux ! Il a également occupé deux ans le poste de fondé de pouvoir d’une grande banque britannique en Espagne dans les années 80. Possèdant un brevet de Capitaine de navire, il a exercé cette profession par intermittence. Depuis son plus jeune âge, il est cavalier de sauts d’obstacles, gentleman rider en couses de plat lorsqu’il avait 22 ans et passionné de voile. Parallèlement, Il a également été éleveur de chevaux durant vingt ans. Il a exercé la profession de journaliste pendant six ans. Auteur d’un premier roman en 2017.