Politique

Robert Badinter, un avis pourquoi faire ?

Robert Badinter cet opportuniste de la trempe de François Mitterrand a connu son heure de gloire justement lors de l’avènement au pouvoir du même Mitterrand en 1981.
Intellectuellement, François Mitterrand comme beaucoup de français, un peu moins de la majorité, était contre la peine de mort ainsi que l’écrasante majorité des avocats dont Robert Badinter.
C’est donc une des premières mesures phare du nouveau gouvernement de Pierre Mauroy, validée par l’assemblée nationale où le PS détenait une écrasante majorité.
Robert Badinter tel un cabotin, malgré un public tout acquis à sa cause tenait à faire son show, ce qu’il fit dans un grand discours à l’assemblée devant les parlementaires, comme s’il avait quelqu’un à convaincre…
Pour le reste, robert Badinter profitât et profite encore des largesses de la république, du conseil constitutionnel qui ne sert à rien jusqu’au sénat aujourd’hui, qui ne sert lui aussi à rien. Pour Preuve, le président actuel de ce conseil, Jean-Louis Debré, une lumière qui lui non plus n’a rien apporté à la république, celle de son père…
la loi sur la réforme des retraites sera votée aujourd’hui 26 octobre, et c’est à cette occasion que Robert Badinter, invité d’Europe1, ancien Garde des Sceaux, s’est déclaré favorable à la saisine du conseil constitutionnel sur le texte de la réforme des retraites afin de poursuivre une bataille juridique, celle de la rue étant à priori perdue..
« C’est un texte d’une très grande portée qui concerne des dizaines de millions de Français. Un grand texte doit être soumis au Conseil constitutionnel », a-t-il souligné, ajoutant qu’il s’agit là de « s’assurer qu’il n’y a pas dans ce grand texte des vices et des dispositions inconstitutionnelles ».
Le problème en France, lorsque le gouvernement décide d’une mesure, c’est qu’ il y a un tas de cours, d’organismes que l’on appelle contre-pouvoir histoire de faire démocratique, et à qui on peut faire appel de telle décision, mais tout ça n’est qu’un artifice destiné à tromper les électeurs, car le dernier mot revient au monarque, le président de la république bananière.
Robert Badinter qui était présent sur tous les plateaux de télévision pour défendre le oui à la constitution européenne lors du référendum, et c’est le non qui l’a emporté, n’a fait aucun commentaire sur l’adoption de cette constitution par un tour de passe-passe du gouvernement absolument anti-démocratique…..
Robert Badinter, ce n’est pas le défenseur de la veuve et de l’orphelin, ce n’est pas le défenseur du droit, celui qui est moral, c’est le défenseur de la combine, de la république bananière dans laquelle il s’est si bien épanoui.

François Mitterrand durant la guerre d’Algérie donne son aval, en tant que Garde des Sceaux, aux nombreuses sentences de mort prononcées par les tribunaux d’Alger contre des militants de la lutte pour l’indépendance, notamment Fernand Yveton, membre du Parti communiste algérien (PCA), guillotiné à Alger le 11 février 1957. Il assume également les actes de torture de l’armée française et aux exécutions sommaires pour mater l’insurrection algérienne.

Que de grands hommes en France….