Ségolène Royal, le magnétofemme
Ségolène Royal a entamé un monologue en réponse aux questions des journalistes. Refusant la moindre remarque au milieu de son discours de peur de perdre le fil d’une leçon apprise par coeur, elle nous aura expliqué que le temps des gens qui savent tout est terminé, mais de là à passer aux gens qui ne savent rien, il y a une marge. Tout au long de sa campagne, Ségolène Royal nous aura tout dit et son exacte contraire, on en veut pour preuve les trente cinq heures, le travail des enseignants et son opinion sur les chefs d’entreprises, et tout dernièrement sur l’identité nationale. La candidate du PS n’a pu expliquer ce que voulait dire “j’ai repris ma liberté” ni ses explications vaseuses sur l’identité national et pourquoi lorsque ses partisans chantaient la Marseillaise, elle s’abstenait. En fait on a compris qu’elle représentait le champ révolutionnaire et que c’était à elle qu’il était adressé, on ne peut pas être Dieu et ses saints. Exhortant la fierté nationale, Ségolène Royal ne doute pas un seul instant qu’elle sera la fierté du pays, rien que ça! Le plus important, c’est qu’elle reste la seule à le croire…
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PHILIPPE PENCIOLELLI
Philippe Penciolelli, né en 1951, cavalier dès l’âge de neuf ans, a commencé sa carrière professionnelle comme entrepreneur dans les transports Hippiques dans les années 70. Connaissant un certain succès, il a pu s’orienter vers une profession, la construction navale, qui le rapprochait d’une autre passion les bateaux ! Il a également occupé deux ans le poste de fondé de pouvoir d’une grande banque britannique en Espagne dans les années 80. Possèdant un brevet de Capitaine de navire, il a exercé cette profession par intermittence. Depuis son plus jeune âge, il est cavalier de sauts d’obstacles, gentleman rider en couses de plat lorsqu’il avait 22 ans et passionné de voile. Parallèlement, Il a également été éleveur de chevaux durant vingt ans. Il a exercé la profession de journaliste pendant six ans. Auteur d’un premier roman en 2017.